J'aimerais bien connaître le marketeur fou qui a inventé un TGV mettant onze heures à faire Nice-Paris, de nuit (20h38 - 7h40).

Ce n'est pas un train couchette, ce n'est pas un train rapide, ce n'est pas un train où l'on peut s'allonger, ce n'est pas un train où l'on peut éteindre les lumières (mais certains compartiments sont éteints — au bon gré du contrôleur qui déclare l'extinction des feux — et l'heure du lever (vers 6 heures, même s'il aurait pu laisser les gens somnoler une heure de plus puisque le train avait une heure de retard)).

J'étais furieuse.
Curieusement, ma jambe gauche ne s'en remet pas.

A Marseille où nous restons immobilisés en gare une heure, je tente de capter le wifi de la gare: payant.


PS: le truc, pour ceux que ça intéresse, c'est de chercher un Nice-Paris Austerlitz.
Ne jamais sélectionner Paris gare de Lyon pour les départs tard le soir, sauf pour les trains internationaux.