Il n'existe pas de n°1 à la rue Albert 1er au Pecq. Mais Google extrapole et nous assure que si.

Soleil, après-midi à l'ombre (mais pas d'un seringa, réservé à Nabokov), discussions à bâtons rompus.

Des sorbets et des casse-têtes. Un mur de Rubix-cubes comme je ne savais pas qu'il en existait (j'aurai dû prendre une photo — mais je n'avais rien pour photographier).

Il faut lire Arno Schmidt (qui décrit l'enfer des écrivains trop connus, bloqués dans un entre-deux, incapables d'atteindre l'oubli et le repos).