Messe de l'Assomption à la cathédrale Saint-Louis. Rues doucement chaudes dans le soleil qui décline, rues grises et bleues et vides, silence.

Je passe ensuite à la basilique Sainte-Marie de la Trinité. Je découvre avec stupeur que le terrain de l'ancienne caserne a été loti, que des sortes d'immeubles bas, ou grandes maisons, sont en voie d'achèvement au ras du magnifique bâtiment principal (cela aurait donc était un si grand manque à gagner que d'épargner une bande de terrain supplémentaire de cinquante mètres de large?); certains logements sont déjà occupés.

Avis aux moins jeunes de mes lecteurs: il leur est désormais possible d'habiter sur les lieux qui connurent leur "trois jours".