Normalement vous deviez avoir droit à un billet aboyeur (ce n'est que partie remise), mais j'ai rencontré Patrick Cardon sur le quai du métro Hôtel de Ville.

Dialogue entre Hôtel de ville et gare de Lyon :
— Tiens, je devrais m'acheter des collants résilles comme ça, je n'en ai plus.
— Ce ne sont pas des collants, ce sont des Dim-up.
Nous sommes sur des strapontins. Neuf heures et demi. Bon d'accord j'ai un peu bu mais pas tant que ça (deux cocktails à base de gin). Et je sais qui est Patrick. Je remonte rapidement le bas de ma robe pour lui montrer la lisière du bas. Ce n'est que quelques secondes plus tard que je verrai la mine effarée et réjouie des quarancinquantenaires (féminines) sur les strapontins d'en face. Tant pis pour elles, honni soit qui mal y pense, je ne vais pas leur expliquer qui est la comtesse de Flandres.
— Oh! mais il faut en acheter deux alors!
— Ça tombe bien, ça se vend par paire.
— Mais c'est de la discrimination vis-à-vis des unijambistes !