— Mon pauvre ami ! Vous êtes la perpétuelle victime de l'esprit querelleur de vos contemporains. Hein ! On vous cherche, on vous provoque, on vous persécute ! Une sorte de fatalité. C'est bien ça ?





— Alors qu'est-ce qu'on fait? On continue dans la grâce?
— On va aviser. Mais aviser dans le calme, à tête reposée. Faut se méfier de nos nerfs.