Ce week-end à Montpellier, j'exprimais mon apaisement à être dans une ville sans omniprésence policière, sans fouille et portique à l'entrée de l'opéra ou du musée?

Je suppose qu'on va avoir droit une fois de plus à des contrôles renforcés, des militaires dans les couloirs du RER. 1986, 1995: ça ne s'est jamais arrêté, jamais arrêté.
Et pourtant, les terroristes manquent singulièrement de gniak: ce serait si simple, un beau carnage un jour de grève, sur les quais bondés… («Ne vous séparez pas de vos bagages, signalez-nous tout paquet abandonné…»)

Enfin bon.