Si vous êtes geek, votez Bayrou

J'allais voter tranquillement Bayrou sans faire suer personne, parce que c'est celui qui m'agace le moins; celui qui me paraît le plus raisonnable et le plus sensé.

Et puis mon fils a trouvé ça (enfin, je ne sais qui lui a dit que) : allez sur le site http://bayrou.fr/. Avec les flèches de déplacement, tapez deux fois la flèche haut, deux fois la fèche bas, puis gauche droite gauche droite, puis les touches b puis a.
Attendre quelques secondes.

Et donc la raison n'empêche pas le farfelu (si tant est que Bayrou soit au courant). En tout cas, avec un entourage pareil, il est probable qu'il ne conconctera pas un Hadopi 3 ou 4.
Bref, si vous êtes geek, que vous croyez en 42, votez Bayrou !

Les jours à venir

Plus d'anecdotes à raconter (si l'on excepte le fait d'avoir découvert que le marathon empêchait d'être à l'heure gare de l'Est quand on vient de la gare de Lyon en voiture et que donc Félix, le jeune Allemand que nous accueillons pour trois mois, a failli nous attendre longtemps (mais nous sommes réactifs et motivés)), plus que du temps à organiser, des tâches à ne pas oublier, selon les deux axes fameux, l'urgence et l'importance.

Donc là tout de suite ce matin pour mémoire (autant le noter ici qu'ailleurs), dans la mesure où je vais être à la maison cinq jours (enfin, à la maison: pas au bureau):
- préparer le TG du 5 mai
- lire les deux Roman
- préparer Porto (idéalement première rédaction finie fin avril)
- appeler Pierre
- prendre rendez-vous chez l'ophtalmo
- mettre à jour Véhesse pour vendredi.

Faire une liste des monuments à visiter puisque Félix, au contraire de Déborah qui connaissait mieux Paris que nous, n'a rien vu (c'est plus facile).

Elégie pour quelques-uns semble épuisé (pas grave, je l'ai trouvé quand même. C'était le dernier qui me manquait dans la liste des ouvrages paru dans les années 80).

PS: Henri est mort. J'aurais du mal à expliquer qui il était, un petit-petit-cousin de ma mère, peut-être (une arrière-grand-mère en commun avec elle, je crois). Il habitait dans la maison mitoyenne de celle de ma grand-mère, j'ai passé du temps avec lui quand j'avais six ou sept ans. Je lui aurais donné un peu plus de soixante ans, il en avait plus de quatre-vingt (m'a dit mon père). Je ne vois décidément pas les gens vieillir, immobiles dans mon souvenir.
C'était un homme doux et gentil, peut-être un peu simple, qui aurait trouvé une place très naturelle dans Les semailles et les moissons.
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