Stress maximal en pensant à ce qui n'est pas fait (entre le rapport à remettre à l'autorité de tutelle dont on a eu connaissance lundi (lettre de relance qui s'est perdue entre les différentes adresses du groupe) et qui devait être remis le 30 juin (et qui ne correspond pas à notre activité (mais ce n'est pas tout à fait le moment de se mettre à dos ladite autorité de tutelle)), les tables de transco à préparer (changement de système informatique en janvier. Mais est-ce vraiment urgent? Le choix du nouveau système est-il vraiment arrêté? Y a-t-il des informaticiens dans la maison en été? Entre travailler pour rien dans l'urgence et empêcher les autres d'avancer parce qu'on n'a pas fourni à temps les éléments…), le bilan prévisionnel dont on m'a parlé mardi après-midi (lui attendra fin août, je crois) et les demandes des adhérents (on verra ça en fin de journée).

Regret du temps perdu (était-il raisonnable d'aller ramer? de prendre des pots? d'acheter des livres? de faire sept séances (sur dix) de kiné? Trop tard, trop tard, trop tard).

Bon, je ne vais pas aller ramer. (La dernière fois, je me suis arraché un beau morceau de peau, de toute façon, je ne sais pas comment j'aurais fait.)