Semaine à lire (parcourir, plutôt, sauter d'un épisode à l'autre très vite) les trois derniers tomes d'Harry Potter. Je mets en œuvre la même tactique que devant une plaquette de chocolat: inutile de résister, et puisque je vais la manger, autant le faire vite, le plus vite possible, qu'on en finisse et qu'on puisse passer à autre chose. (Juillet 2007, y a-t-il écrit dans le dernier tome, jour de retour du stage de planeur. Bouffée de regrets intenses, quel gâchis.)


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Ajout le 21 septembre 2015 :
C. m'a donné hier ses notes, après que je lui ai dit que j'allais l'accompagner à la fac pour les voir (il soutenait qu'elles n'étaient pas envoyées par la poste, mais affichées dans les couloirs). Ce n'est même pas nul, c'est inqualifiable. Impression de deuil, où est passé mon bébé, celui qui me souriait sur la table à langer, celui que j'avais l'impression de si bien comprendre, où est passé le petit garçon qui faisait la fierté de sa maîtresse de grande maternelle? Qu'ai-je fait, me suis-je trop confiée à lui (oui, sans doute, j'en ai tant de remords), l'ai-je trop gâté? Comme je regrette de lui avoir laissé la mezzanine, d'avoir aimé les choses bizarres, fun. Tout ce que je n'aurais pas dû faire. Comme je regrette. Comme j'ai été fatiguée, absente. Qu'ai-je fait?