Hier : journée de réunion, à réfléchir à la façon dont nous allons d'abord nous passer d'informatique pendant six mois, puis à la façon dont nous allons la remettre en place.

Aujourd'hui : journée à rattraper ce que je peux de retard («le temps ne se rattrape jamais» dit mon père un soir de Noël quand j'avais six ans. (Et j'avais alors entrepris un raisonnement par récurrence pour parvenir à la conclusion qu'il avait raison)). Coup de fil à Danielle, mon ancienne collègue, qui est en train de mourir d'ennui. Journée des erreurs, il me semble en savoir moins aujourd'hui qu'il y a trois mois. C'est toujours une période troublante, même si cette phase est connue.

Mon beau-père a soixante-dix ans aujourd'hui. Je n'arrive pas à accepter que nos parents vieillissent.