Après les journées rangement, j'avais pris une journée pour faire le ménage.

Tant mieux, puisqu'à quatorze heures H. me téléphone de Tours pour me dire qu'il sera là ce soir avec un collègue et que le collègue dormira à la maison parce qu'il n'y a plus une chambre d'hôtel de libre dans la région parisienne.
Dans un monde normal, le collègue (subordonné) aurait pris le train tôt demain matin.
Nous ne sommes pas dans un monde normal.

Bon, je vais de ce pas cuisiner une pintade au chou.