Je ne sais plus trop quoi écrire ici. La tête dans la fiscalité au bureau, dans Melville dans le métro, dans Qohélet en bibliothèque.

Je ne sais pas si ce blog a jamais été très intimiste, mais j'ai l'impression qu'il le devient de plus en plus, et ça me gêne, je ne sais pas comment me saisir de ça ("to handle", quelle traduction?), le tenir sous contrôle.
Raconter des anecdotes ou décrire des scènes est tout de même moins dangereux, fait moins courir le risque de devenir niais.