Lu La Trêve. Je le lis comme un manuel de management (les stratégies de pouvoir en entreprise, oui, ce sont bien les mêmes types humains que l'on retrouve) et de survie (des chaussures avant de la nourriture: je m'en souviendrai (de la même façon que j'ai un bout de terrain pour pouvoir planter des patates, conseil de ma grand-mère, renforcé par le soulagement de Jiri Weil (Vivre avec une étoile) quand il peut planter quelques carottes entre les tombes au cimetière où il est réquisitionné pour travailler)).
Parfois je me demande s'il est tout à fait normal d'ainsi toujours me préparer au pire, mais en réalité, la réponse à cette question m'est indifférente.

Lu La Trêve. Journée à lire, en grande partie au lit : très inhabituel.

Vers le soir je sors pour aller chercher O. à Orsay; le matin marché. Cependant, c'est tout de même une journée essentiellement vide.