Du haut du très haut immeuble, je découvre l'immensité verte du cimetière de Pantin. Jean Puyaubert est quelque part là, mais je n'aurai pas le temps d'aller chercher.

Je passe emprunter des cours polycopiés de Jean Greisch. Je commence le Kant de Jaspers. Quel dommage que la lecture terrifiante d'Hegel m'ait éloignée si longtemps de Kant (je veux dire qu'Hegel m'a tant découragée que je n'ai plus jamais essayé de réellement lire un Allemand). Tard, toujours tout si tard.

Epuisée, je dors une heure dans la voiture en attendant O. en cours de flûte.