Journée sur Evangelii Gaudium. Intéressant, mais je me rends compte que je n'ai pas assez travaillé.

— Qui l'avait lu avant de devoir le lire pour ce cours?
Personne.
La sœur qui anime le TG (une belle tête à la Philippe de Champaigne, admirable) sourit: «C'est merveilleux, l'ecclésiologie, mais c'est épuisant: chaque semaine il y a de nouveaux livres, entre la Curie et les théologiens, il y a toujours de la lecture… C'est une matière nouvelle, le corpus est moins fixé que pour la christologie.»

Pour le néophyte, c'est surtout angoissant. La principale question qui se pose devant un nouveau texte est : «Sur quels points diffère-t-il des textes précédents?», ce qui suppposent d'avoir lu ceux-ci et d'en avoir compris (vu, reconnu) les enjeux.

Repas pique-nique comme chaque fois. Je sors la porcelaine (je n'avais pas de gobelet en plastique) et les deux thermos de thé (je n'avais plus de café)