Les questions sont ici.

1. Non. Je ne sais pas si je le regrette. Je ne sais qu'en penser. Peur (de perdre le contrôle) et curiosité (de découvrir de moi des choses inconnues, de préférence insoupçonnables).

2. Non. Jamais témoin, une seule fois marraine… Ma vie est un échec.

3. Plus maintenant. J'en ai rêvé au lycée. Une fois encore je regrette d'avoir abandonné trop tôt. Le parcours qu'on vous annonçait été hyper-balisé (un doctorat en physique ou biologie). En réalité, un métier dans l'aviation et de la chance aurait pu permettre de s'approcher du but, cela s'est "beaucoup" ouvert avec la chute du mur (enfin, ça ne représente pas beaucoup de places malgré tout!) Je me souviens de la première Française, en 1985 ou 1986.
Aujourd'hui j'aurais peur. Je suis devenue peureuse en vieillissant. Je comprends mieux pourquoi on parle de l'inconscience et de l'insouciance de la jeunesse. Cette inconscience me manque, je la regrette.

4. Non. Avec mon grand-père maternel, il y a trèèèès longtemps. L'enfer. «Chut, arrête de bouger, ne parle pas», etc. Ah, et une fois en mer, à douze ou treize ans. Ça c'était bien, mais j'avais attrapé de sacrés coups de soleil.

5. Il me semble que oui. Mais évidemment, je ne suis pas objective.

6. Non. Je me dis que je devrais apprendre à planter un crocher dans du placoplâtre (Youtube à mon secours!) pour faire ce que je veux.
Mais je n'ai rien que je souhaite mettre au dessus de mon lit.

7. Oui. Pas tous les parents, mais un ou deux, oui.

8. Non.

9. Pas à ma connaissance !

10. 5h45. Rendormie en attendant le réveil (6h15)
Ces horaires sont ceux de mercredi 26 novembre, jour où je remplis ce questionnaire. Samedi dernier était le seul jour de la semaine sans contrainte, j'ai dû me lever un peu avant neuf heures.