Nous sommes deux ou trois à systématiquement essayer de sortir en pointe dès que les conditions deviennent plus clémentes. Nous complétons la yolette avec des volontaires plus ou moins enthousiastes, plus ou moins au courant de ce qui les attend.

Après sept kilomètres, Pascal remarque:
— Je ne suis pas d'accord avec Nathalie, je ne vois pas en quoi c'est plus facile que le couple.
Je demande, de ma place de barreur: — Elle a dit que c'était plus facile?
— Elle dit qu'elle adoorrrreee la pointe.
Nous éclatons de rire toutes les deux.
— Ah mais oui. Ce n'est pas du tout pareil que dire que c'est plus facile!