D'Amy, je ne connaissais que ce clip chez Cafeine (c'est même comme cela que je l'ai connue) et l'annonce de sa mort chez mon oncle alors que nous fêtions les soixante-dix ans de celui-ci et dans le même temps — avant, après? — la terrible nouvelle de la fusillade en Norvège.

Le film Amy Winehouse est terrible, assez lent au début, montage de films d'amateurs, puis plus rythmé au fur à mesure que les archives deviennent "officielles" (télé, concerts, etc). Il n'a sans doute pas été monté dans ce but, mais le spectateur ne peut s'empêcher de distribuer des bons et surtout des mauvais points aux personnages à l'écran, le mari, le père, le garde du corps, les copines d'enfance, le producteur, etc. Nous sommes tellement désolés puisque nous connaissons la fin, certaines images sont si cruelles qu'elles laissent perplexes: vraiment, son entourage n'a rien fait?
Et quel réquisitoire contre la drogue.