Jean Greisch commente mon exposé:
— Ce que vous avez fait, ce serait plutôt l'herméneutique du voyageur. Vous pouvez faire mieux, aller plus loin.
Je me débats pour comprendre ce qu'il veut dire, où voudrait-il que j'aille?
— Il faudrait atteindre une herméneutique de la vérité.
Parmi les présents, Jo (je sais que c'est lui) enchaîne. Je me concentre, mais les paroles ne me parviennent pas nettement.
Le réveil sonne.

Encore heureux que les paroles ne me parviennent pas nettement: comment pourrais-je conceptualiser en rêve quelque chose que mon cerveau ne peut concevoir (moi) éveillée? (Et pourtant, je suis un peu déçue: car si j'y arrivais en rêve, alors je saurais que j'en suis capable éveillée).
Mais c'est joli, "herméneutique du voyageur". Qu'est-ce que j'ai voulu dire?