Pour faire mentir ce que je disais hier, deux allusions aujourd'hui, mais par des étrangers (sont-ils émus pour nous, ou effarés que de tels événements arrivent ici, à Paris?) :

- la prof de grec, grecque, commence tout à trac le cours par une minute de silence.
- l'étudiant indien, qui murmure quelques mots sur la tristesse des événements. Je réponds avec légèreté, peut-être trop d’ailleurs, je l'ai regretté: «Oh, il y a toujours eu des attentats à Paris. Ici par exemple, (j’étends la main vers la rue de Rennes), il y a eu une bombe, et dans le RER… la nouveauté, ce sont les fusils mitrailleurs.»