Il a fallu à nouveau faire appel à l'informaticien qui était venu mettre à jour Ciel compta le 18 décembre: il n'a pas fait le travail jusqu'au bout et nous avons de nouveau des messages d'erreur. Ce type m'agace par sa lenteur et sa façon de ne pas prendre en compte ce qu'on lui dit; d'autre part, et c'est plus rare (et je l'avoue avec un peu d'embarras), il me répugne physiquement. Quand il a terminé et qu'il est parti, je nettoie tout derrière lui au produit désinfectant, le téléphone et le clavier.

A midi, je l'abandone pour aller ramer, me disant qu'il travaillera peut-être mieux seul, car nous nous portons réciproquement sur les nerfs.
Quatre : Thibaud, Florent, moi, Marie-Françoise. Conseil : ne pas rentrer le menton au dégagé.

Je ne suis pas allée voir la pièce de Benoît.
Nous avons eu une discussion autour de l'APB (admission post-bac), pour souligner à la fois que les prépas, c'était l'horreur, mais c'était passionnant (j'ai découvert au cours de cette discussion que la pulsion qui me faisait dire «si on me le proposait, j'y retournerais tout de suite» a disparu: sans doute grâce à mes études et à Cerisy). Je suis contente d'avoir réussi à arracher H. quelques instants à ses préoccupations pour qu'il consacre quelques minutes au cas d'O. J'ai toujours peur que nous ne nous occupions pas assez du petit dernier, qu'il se sente (qu'il soit) négligé.

Nuit blanche de H. pour le boulot (rencontre américaine demain). Cela n'était pas arrivé depuis des années (à une époque, c'était quasi son mode habituel de fonctionnement).