J'aurais dû prendre le bus ce matin (la voiture étant restée à la gare hier soir) mais H. m'a proposé de me déposer et je n'ai pas eu le courage de refuser (tant pis pour l'écologie).
A la gare à 8h55, prochain train vingt minutes plus tard, horaires de vacances obligent (je ne râle pas: des métros circulent toute la nuit sur certaines lignes pour les fêtes, bel effort).
H. me propose de me déposer à Villeneuve-St-Georges, nœud ferroviaire donc proposant davantage de trains venant de différentes directions. J'accepte moins dans l'espoir d'avoir un train plus tôt (le temps de trajet en voiture vaut le temps d'attente en gare) que pour rester avec lui au chaud dans la voiture. Il fait froid, il y a beaucoup de brouillard. Signe des temps, plus personne ne semble près à accepter qu'il y ait du brouillard, j'entends parler de pollution. Breaking news: près des rivières, au-dessus des fleuves, il y a du brouillard. "Après dispersion des brumes matinales" étaient même une expression incontournable des bulletins météo il y a quelques années. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de pollution, mais il ne faut pas tout mélanger — ou tout oublier.
Train à quai quand j'arrive à Villeneuve, train à quai quand j'arrive garde de Lyon : optimisation, pas de temps d'attente.

Le soir RAS. Départ vers 18h30, RER D vers 19 heures, zaco à quai quand j'arrive.