Fait le choix de partir très tard (RER de 10h43) de façon à éviter la foule (car c'est la grande désorganisation). Je suis donc arrivée à peu près à l'heure pour aller m'entraîner à l'aviron… (sans cet entraînement, j'aurai travaillé à distance).

Nous sommes trois de l'équipage prévu le 1er mai : Anne-Sophie, Agathe et moi (Florent et Gilles en complément). Soleil mais énormément de vent. Bonne sortie mais compliquée. Même barrer est difficile par un vent pareil. J'ai pris un petit coup de soleil.



Deux cours à la même heure ce soir car celui de lundi a été déplacé : commentaire de Romains et liturgie. Je pensais aller sagement au premier — puisque le deuxième est optionnel — mais j'ai changé d'avis en choisissant le cours qui m'apportait habituellement le plus.

Rite de la confession selon le catéchisme de Pie X (pour commenter la tradition et son évolution).
Puis rite des funérailles. Avec mes deux enterrements en un mois, cela a des résonnances personnelles.


Problème du rite :
Si on personnalise, on risque de tomber dans la personnalisation, l'hommage au défunt, et non pas la célébration du mystère pascal.
Mais si on refuse, on risque de se faire accuser d'être hors du monde, hors de la vie.


L'importance de la ritualité : indispensable, oubliée, et pourtant elle revient toujours. Les gens passent leur temps à inventer des rites (pour se saluer, pour manger, etc)