La grand-mère de ma coiffeuse était florentine (je m'en doutais, je me doutais de quelque chose!)

J'ai lu un peu de Sophie Calle. Ce que dit Angot n'est pas faux: ce n'est pas sain et dangereux et manipulateur d'ainsi mettre en scène une lettre de rupture. Cela m'avait fait instinctivement fait fuir la première fois que j'en avais entendu parler: l'humiliation de l'homme. (Depuis j'ai lu la lettre et je la trouve si mauvaise que ma répulsion est passée à l'arrière-plan.) Pas eu le temps de terminer le conte de Marie Desplechin. Ce sera pour la prochaine fois.