A ne pas pouvoir bouger, ou pas longtemps (je peux marcher sur le talon, c'est difficile de rester debout), à ne pas devoir m'assoir à un bureau (le pied doit rester en hauteur pour ne pas gonfler), les journées deviennent vite moroses.

Réveillée et levée tôt (6h30), comme d'habitude, rendormie de 8h30 à 11h : je déconseille, ça déboussole. Passage de l'infirmer pour la piqûre quotidienne d'anticoagulant (j'avais envisagé de la faire moi-même mais j'ai reculé), repas, déclaration d'impôts (première déclaration de l'appartement acheté en loi Pinel: je suis impressionnée, l'impôt est divisé par deux). Quelques lectures mais pas grand chose (cette impression que l'Eglise catholique est davantage préoccupée d'elle-même que du message chrétien: comment écrire un mémoire dans le cadre ecclésial dans ces conditions? Je n'y arrive pas. Mais il y a aussi la peur de ne pas y arriver, et je ne sais plus ce qui sert d'excuse à l'autre).

Divers: commandé Langelot et le commando perdu (jamais lu) et ce que j'espère être la première édition de Langelot et le plan Rubis (les couvertures changent dans les éditions suivantes).
Tard le soir, premier épisode de la saison 7 de Homeland (S0701), en espérant que cela n'entraînera pas de dérive.
Plus tard encore, flash: vingt-neuf ans de mariage aujourd'hui (nous ne sommes pas très doués pour ce genre de choses. Je m'interroge sur la possibilité et le désir d'organiser quelque chose l'année prochaine).