Matinée de lecture et d'écriture. J'aime bien. Ça me fait du bien.
J'en viens à fuir l'agitation, la surexcitation des réseaux sociaux. En temps normal c'est pénible mais amusant; en ce moment c'est fatiguant. J'aspire à une certaine sérénité, une retraite dans la retraite, un repos dans le repos forcé.

Je recommence à lire, timidement (je veux dire lire en dehors des lectures obligatoires). J'ai commencé hier De l'inégalité parmi les sociétés, une lecture longtemps remise.

Nous avons remonté mon bureau du dernier étage (démonté en décembre… 2018 pour les travaux).
Je me dis que je dois saisir ma chance: plus rien ne va entrer dans la maison pendant sept semaines1, si je secoue ma flemme je devrais pouvoir vider des cartons, des armoires, trier, redispatcher, donner…
Il manquera les passages à la déchetterie.


Nouvelles du front : j'ai commandé une corde à sauter, lui paraît bien.

J'ai un rhume (un simple rhume, le nez qui coule, pas de fièvre). Sans doute un peu d'allergie aussi. Aujourd'hui il a fait gris et froid. S'il avait fait ce temps depuis une semaine, les gens seraient moins sortis.
Je mets ça là au cas où ce soit utile :






Note
1: en me fondant sur la Chine et l'Italie, j'ai fixé arbitrairement la durée du confinement à huit semaines. Ce sera peut-être plus, sûrement pas moins. Le pic en France est attendu dans dix jours, avec, si j'ai bien compris, une deuxième onde de choc dix jours plus tard.