Je suis passée au CNF pour dire au revoir à Vincent et Claire et leur laisser une bouteille.
C'était émouvant — mais je me rends compte au soulagement que j'en éprouve que c'était devenu trop lourd, entre la difficulté de venir de Nanterre le midi (un RER, un métro) et celle de retourner à La Défense le week-end (ce qui était stupide, j'en avais conscience, mais comment abandonner les rameuses du huit?)

Finalement le virus aura eu raison de tout cela: plus personne ne parle du huit (personne ne s'est connecté sur l'application qui nous permettait de nous organiser, ne serait-ce que pour tenter de faire un quatre) et il est difficile de ramer le midi sans vestiaire donc sans douche.

J'ai oublié de remercier Vincent pour tout ce qu'il m'a apporté depuis deux ans: j'ai beaucoup progressé, j'ai découvert des pans entiers de technique que j'ignorais. Il faudra que je lui envoie un sms.

Bon, et maintenant, changer de boulot.