En lisant Matoo, j'ai découvert le défi du Dr CaSo: «quelqu'un qui…»

Aujourd'hui, quelqu'un qui n'a peur de rien. Je vais encore parler d'un groupe. Il aurait pu entrer aussi dans la catégorie «quelqu'un qu'on admire»: les jeunes, bénévoles ou salariés, de JRS.

C'est une ode à la jeunesse que je voudrais écrire. J'ai admiré leur audace, leur bonne humeur, leur courage, la force inébranlable de leur simplicité. Ils étaient là pour faire ce qu'il y avait à faire — répéter du vocabulaire avec des personnes qui ne connaissaient pas un mot de français, faire le café, la cuisine, enregistrer des noms, organiser des jeux, chanter, jouer au foot, danser — sans douter, sans hésiter, sans se laisser décourager par les barrières de la langue ou des coutumes.

Je les ai admirés et je les chéris. Ils me font du bien à l'âme quand je pense à eux. Il me donne l'espoir que tout n'est pas perdu, le futur avec un grand F, celui de la planète, celui des enfants et des petits-enfants n'est pas perdu — s'il est entre leurs mains.

l'équipe des bénévoles de jrs en juillet 2020