Levée tôt. Commencé un relevé des photos postées sur Télégram durant 2022, dans l'hypothétique ambition de reconstituer l'année de tous les billets que je n'ai pas écrits.

Puis petit déjeuner, derniers emballages de cadeaux, j'ai terminé I'm not okay with this et commencé Alice in Bordeline, valise, repas léger, départ.

Autoroutes, hôtel à Blois — l'hôtel installé dans un ancien couvent, à côté du restaurant ouvert par Christophe Hay (à cause de travaux dans la salle de bain il est difficile de loger chez mes parents).

Un tour dans la piscine (piscine faite pour nager, toute en longueur — eau presque trop chaude dès qu'on nage) puis chez mes parents.
Ma sœur est là, échange de cadeaux. Je reçois des chaussettes chauffantes (pour le planeur en montagne, avec des batteries à conserver dans une petite poche sur le côté) et de la confiture de tomates vertes.

Deux bouteilles de champagne et beaucoup de gougères, l'une des spécialités de papa. Nous circulons tant bien que mal entre les sujets de conversation sans trop nous disputer. Je ne sais pas pourquoi c'est toujours compliqué. Cela ne devrait pas être compliqué.

En y réfléchissant, je crois que nous ne nous sommes pas souhaités bonne année, et ce n'est peut-être pas plus mal. Depuis 2020, chaque année fait regretter la précédente.
Il ne faut pas trop y penser. Armons-nous de courage.