Sortie en huit mixte cahotante, bassin agité par le vent. J'étais mal réglée.
Remarque de l'entraîneur: «Un huit, ça se fait bouger à huit, pas à huit fois un. C'est difficile, surtout quand on est adulte et qu'on ne rame pas ensemble six fois par semaine».

Je rentre. A. est arrivée de Mortagne, nous allons déjeuner au MaSu de Nemours de façon à faire nos traditionnelles courses de chaussettes et autres dans notre magasin préféré.

Passage à Thomery dans la boutique Pokélégende. C'est minuscule et perdu, loin du centre de Thomery (déjà pas bien grand) et de la gare, à cent mètres du château de By. Je ne comprends pas comment ils arrivent à survivre ici, mais apparemment les passionnées viennent de toute la France et même de Belgique.
A. ressort avec une somme indécente en boîtes de cartes (boosters?). Elle nous explique la spéculation autour des nouveaux boosters, en vente cinq ou six semaines tout au plus. La particularité du magasin de Thomery, c'est de réunir toutes les boîtes de boosters qui sortent, alors que normalement les boîtes sont dispersés à travers la France dans différents points de vente: il faut tous les visiter si on veut tous les boosters. (Je ne garantie pas l'exactitude des termes, mais c'est le principe).

Pour mémoire : rupture d'approvisionnement du médicament Ozempic. Le pharmacien a demandé à H. de prévenir son médecin pour trouver un traitement de substitution.