Eclat de rire ce matin en découvrant cela (il faut dire que Romorantin, c'est chez moi, ou à peu près).

casserole à Romorantin. Article de la Nouvelle République


J'envoie l'article à mes parents qui vadrouillent en Pologne au printemps comme chaque fois que c'est possible depuis leur 50 ans de mariage (le déclencheur fut la venue d'une cousine polonaise pour fêter l'événement).
Ma mère commente: «il voulait peut-être de la soupe».

Plus de crémant, H. sort en chercher: «On ne peut pas vivre sans crémant»; il revient: «il [le caviste] n'avait plus de crémant de Loire, j'ai pris du Bourgogne.»
Pas mauvais mais moins joyeux, et peut-être plus alcoolisé. H. a commencé à lire Le tire-bouchon du bon Dieu, j'ai repris les Langelot contemporains, les deux derniers de la série, Langelot et le Commando perdu et Langelot donne l'assaut, et nous avons comaté tout l'après-midi.

Quand nous émergeons, vers 17 heures, je racommode le parasol avec six boutons (dont quatre proviennent d'un pyjama des années 90) en écoutant l'audition de Bruno Lemaire et Gabriel Attal par la commission des Finances. Ça répète un peu toujours la même chose. En gros, nous essayons de nous désendetter rapidement en pariant sur la croissance par l'allègement des impôts (politque de l'offre). L'effort est demandé à l'Etat et aux collectivités.

Remarque : si vous y avez droit, ouvrez un livret d'épargne populaire, le taux d'intérêt est positif même après inflation (6,1% d'intérêt actuellement, plafond 7700 euros).

Je suis ravie, je n'étais pas sûre de réussir à réparer le parasol, mais c'est parfait. Restera à enlever les traces d'algues ou de mousse sur la toile.