Encore une de ces journées où mon seul sujet serait le boulot. Il me faut donc être sibylline.
C'est assez amusant, passera, passera pas, serons-nous encore là dans quatre ans? Après trois ans de déboires systématiques (décrets après accords interministériels, la législation nous condamnait en nous retirant notre clientèle), le vent semble tourner, et c'est si inattendu que je n'y crois pas vraiment. On dirait une illustration d'«Aide-toi et le ciel t'aidera».
Il est beaucoup trop tôt pour savoir comment cela va finir. Ce sera plus clair en février prochain.

Courbatures aux abdominaux. Dans ma salle de sport (majoritairement destinée à la danse), j'ai récupéré le numéro gratuit de Neon magazine. Dans un sens ce n'est pas mon style; dans un autre, j'adore leur merveilleuse liberté, leur façon de concevoir le bonheur comme quelque chose qu'on va conquérir.
Bien évidemment j'ai aussitôt consulté mon horoscope queer pour l'été: «réfléchissez moins, foncez plus».

Sommeil.
Je continue Poliakov, Bréviaire de la haine.