Marché. Un chapon et deux poulardes. Le fermier (un charmant jeune homme ressemblant à Di Caprio, tandis que Juliette, la vendeuse, ressemble à Emmanuelle Béart : à croire que c'est un critère d'embauche) m'a proposé de porter mes paquets à la voiture :
— Inutile, je fais de l'aviron.

Curry d'agneau le midi, bûche au chocolat l'après-midi (pour une fois que j'ai accès à la cuisine, je fais des expériences), poulardes le soir avec des châtaignes cuites dans du miel (celui qui fait la cuisine choisit les recettes et je suis la seule à réellement aimer les châtaignes)).

H. va beaucoup mieux, la fièvre a cédé.