Le gouvernement est en train de vacciner les gens si lentement, avec tant de contraintes (prendre un rendez-vous chez son médecin, se faire expliquer, signer un consentement, respecter un délai de rétractation) que tous ceux qui veulent se faire vacciner (il y en a encore quelques-uns en France, malgré tout) commencent à piétiner d'impatience.

Je songe à Parmentier qui entoura de soldats son champ de patates pour en attiser le désir.

Sur FB toujours, Jean-Louis Bailly a partagé cette fable qui résume bien la situation:

poème de Jean-Louis Bailly sur le vaccin à la manière de La Fontaine



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Tabata mardi et mercredi. J'ai des courbatures au point de gémir en descendant les escaliers. Je n'ai plus aucune condition physique, il faut que j'en récupère avant les Culs gelés prévus le 14 mars.