Je lis Satori à Paris que j'ai récupéré hier soir au bookcrossing (thème: Paris. J'ai présenté La marquise sortit à cinq heures).

Ce livre me fait tellement rire que je vais sans doute le recopier tout entier.

Ainsi donc, la Bibliothèque Nationale qui ne communique aucun livre, les avions bloqués en bout de piste, les trains bondés, c'était déjà vrai en 1965? Ce ne serait pas dû au fait que nous sommes devenus trop nombreux (comme le soutient Hervé)? Well, well, well.
(Hélas, pas de notation sur le métro, cela m'aurait intéressée.)

Cela me fait rire mais ce n'est pas drôle, car si c'est une donnée permanente du caractère français, cela veut dire que cela ne va pas changer.