Cet après-midi j'avais rendez-vous à jrsfrance. Je me suis engagée tous les matins de juillet, de neuf à midi, pour converser en français avec des réfugiés.

Quelques questions plus tard il ressort que : ils viennent là le plus souvent par bouche à oreilles, ils ne parlent jamais de leur passé ni de la façon dont ils sont arrivés en France et que les échanges sont très vivants. Il ne faut pas avoir peur de dessiner, même mal. (C'est le ridicule que j'assume: mal dessiner).

Je songeais à venir ici depuis mon retour de Grèce en 2013, j'ai attendu la fin de mon cursus à l'ICP.