Dernier matin, ramassage des affaires éparpillées dans la chambre, tri, j'ai perdu une chaussette, plus qu'à espérer qu'une des trois filles la retrouve dans ses affaires dans la semaine.
Vaisselle, balayage, «de toute façon nous allons tout désinfecter» nous dit gentiment la propriétaire (quel travail). Nous avions fourni un test ou un certificat de vaccination avant de venir, trois jours sans penser au Covid, inespéré.

Dernière sortie en huit avec plusieurs départs lancés.



C'est équilibré, plus de roulis, bonheur. J'aurais bien fait un troisième tour mais il faut rentrer, le traiteur va arriver avec les plateaux.
Démontage des bateaux, nettoyage, chargement de la remorque, douche, dernier plateaux repas, dernière vaisselle, départ avant trois heures.

Arrivée, déchargement, remontage des bateaux, rangement des pelles, de la remorque.

H. passe me chercher vers huit heures, nous allons dîner au K. — sans doute pour la dernière fois car H. est déçu par son plat.

Dans la boîte à livres de Samois, quelqu’un s’est débarrassé de livres à connotation théologique. Je récupère La Bible dévoilée (que j’ai lu pendant mes années d’études), La Route antique des hommes pervers et La Pharisienne de Mauriac.

En rentrant je lance et étends une machine: dommage qu’il ne fasse pas plus chaud, je voudrais récupérer une robe légère pour demain, il faut qu'elle sèche dans la nuit.