Bibliothèque de Bois-le-Roi, II
Par Alice, samedi 12 janvier 2013 à 19:39 :: 2013
Une caisse était posée devant la porte avec une affiche : "livres donnés par nos lecteurs pour nos lecteurs". Que des biographies. J'ai pris tout ce que je pouvais mettre dans mon cartable, honteuse d'emporter presque la moitié des livres et souhaitant le dissimuler.
Donc :
- Guislain de Diesbach, Madame de Staël, parce que Patrick m'en a rapporté un digest de Coppet ;
- Dirk Van der Cruysse, Madame Palatine, princesse européenne, parce que Laurent m'a dit que c'était elle l'auteur d'un cri qui m'avait particulièrement marquée (« Pas le couvent, pas le couvent ! ») (ce livre est énorme) ;
- Jean-Pierre Poirier, La véritable Jacqueline Auriol : Voler pour vivre, parce que Jacqueline Auriol et Hélène Boucher sont mes héroïnes depuis toujours (et puis il y a des photos) ;
- Frédérique Lebelley, Duras, le poids d'une plume, parce que ça me plaisait d'avoir un autre avis que celui de Laure Adler (même si, Duras l'ayant relu, ce ne doit pas être biaisé du tout. Mais cela m'amuse).
J'ai laissé le récit de Catherine Allégret sur Montand et Signoret (pour ma mère), parce que décidément, plus rien ne tenait dans mon cartable.
Je me suis inscrite. Ils m'ont précisé que l'inscription pour les enfants était gratuite. J'ai répondu que c'était moi qui lisais les livres pour enfants, que j'adorais ça (pourquoi ne puis-je jamais m'empêcher de me présenter comme simplette ? Sur le coup ça m'amuse, mais après je me plains qu'on me prenne pour simplette. A corriger).
Travaillé sur la Bible (les occurrences du mot mashiah, "frotté d'huile", dans l'AT). Pas fini, il va encore falloir me lever très tôt cette nuit.
Fini L'Ange au regard vide.
Donc :
- Guislain de Diesbach, Madame de Staël, parce que Patrick m'en a rapporté un digest de Coppet ;
- Dirk Van der Cruysse, Madame Palatine, princesse européenne, parce que Laurent m'a dit que c'était elle l'auteur d'un cri qui m'avait particulièrement marquée (« Pas le couvent, pas le couvent ! ») (ce livre est énorme) ;
- Jean-Pierre Poirier, La véritable Jacqueline Auriol : Voler pour vivre, parce que Jacqueline Auriol et Hélène Boucher sont mes héroïnes depuis toujours (et puis il y a des photos) ;
- Frédérique Lebelley, Duras, le poids d'une plume, parce que ça me plaisait d'avoir un autre avis que celui de Laure Adler (même si, Duras l'ayant relu, ce ne doit pas être biaisé du tout. Mais cela m'amuse).
J'ai laissé le récit de Catherine Allégret sur Montand et Signoret (pour ma mère), parce que décidément, plus rien ne tenait dans mon cartable.
Je me suis inscrite. Ils m'ont précisé que l'inscription pour les enfants était gratuite. J'ai répondu que c'était moi qui lisais les livres pour enfants, que j'adorais ça (pourquoi ne puis-je jamais m'empêcher de me présenter comme simplette ? Sur le coup ça m'amuse, mais après je me plains qu'on me prenne pour simplette. A corriger).
Travaillé sur la Bible (les occurrences du mot mashiah, "frotté d'huile", dans l'AT). Pas fini, il va encore falloir me lever très tôt cette nuit.
Fini L'Ange au regard vide.