Dans l'ordre à partir de 17 heures
Par Alice, jeudi 17 janvier 2013 à 23:23 :: Affaires JA
- Je constate en rangeant mon bureau que j'ai peut-être travaillé un peu plus que je ne le pensais. Tant mieux.
- J'ai rencontré JA au bistrot d'Eustache. J'avais reçu un mail de sa part pendant que j'étais à Amsterdam. Il était très inquiet car nous savons quelque chose sur sa vie privée qu'il ne veut pas qui se sache. Il n'a toujours pas compris que nous ne sommes pas lui et que nous ne diffusons pas des informations personnelles sur les blogueurs.
D'une part je lui ai assuré que je ne signerai pas de "paix séparée" (autrement dit je ne laisserai pas tombé JYP et Emmanuel) ; d'autre part je lui ai proposé de mettre fin à tout ça non pas en mettant les billets (hors de question) mais en les anonymisant, en remplaçant les noms par des initiales de façon à échapper à Google.
Il a refusé.
- La porte arrière gauche de la voiture ne fermant plus (le taquet gelé ne redescend pas), j'effectue le trajet de la gare à la maison en la tenant de la main gauche glissée derrière le siège du conducteur, passant les vitesses et tenant le volant de l'autre main. Il est dix heures et demie, il reste de la neige sur les trottoirs, les rues sont désertes. Au fur à mesure du voyage, la très fine couche de glace à l'intérieur de l'habitacle fond, me permettant de voir un peu de la route.
A l'arrivée, talc sur les joints des portes, eau chaude et tournevis pour descendre le taquet (fermer la porte est primordial pour ne pas décharger la batterie).
- Rentrée avec C. rencontré par hasard sur le quai du RER. H. arrive de Tours quelques minutes après nous, et O. en vélo du ping-pong quelques minutes encore plus tard. Le lendemain A. me dira: «Je ne savais pas que je devais passer la soirée seule hier». Oups.
- J'ai rencontré JA au bistrot d'Eustache. J'avais reçu un mail de sa part pendant que j'étais à Amsterdam. Il était très inquiet car nous savons quelque chose sur sa vie privée qu'il ne veut pas qui se sache. Il n'a toujours pas compris que nous ne sommes pas lui et que nous ne diffusons pas des informations personnelles sur les blogueurs.
D'une part je lui ai assuré que je ne signerai pas de "paix séparée" (autrement dit je ne laisserai pas tombé JYP et Emmanuel) ; d'autre part je lui ai proposé de mettre fin à tout ça non pas en mettant les billets (hors de question) mais en les anonymisant, en remplaçant les noms par des initiales de façon à échapper à Google.
Il a refusé.
- La porte arrière gauche de la voiture ne fermant plus (le taquet gelé ne redescend pas), j'effectue le trajet de la gare à la maison en la tenant de la main gauche glissée derrière le siège du conducteur, passant les vitesses et tenant le volant de l'autre main. Il est dix heures et demie, il reste de la neige sur les trottoirs, les rues sont désertes. Au fur à mesure du voyage, la très fine couche de glace à l'intérieur de l'habitacle fond, me permettant de voir un peu de la route.
A l'arrivée, talc sur les joints des portes, eau chaude et tournevis pour descendre le taquet (fermer la porte est primordial pour ne pas décharger la batterie).
- Rentrée avec C. rencontré par hasard sur le quai du RER. H. arrive de Tours quelques minutes après nous, et O. en vélo du ping-pong quelques minutes encore plus tard. Le lendemain A. me dira: «Je ne savais pas que je devais passer la soirée seule hier». Oups.