Enquête
Par Alice, samedi 31 mai 2014 à 12:00 :: Une enquête sentimentale
Les questions sont sont ici.
1/ Pas vraiment, mais plus qu'avant (y'a du progrès).
2/ Plutôt oui.
3/ Il est prévisible que je sois imprévisible (donc prévisible? bref, je ne sais pas répondre à cette question.).
4/ Grande question. Pour revivre tellement c'était bien, ou pour tout changer tellement c'était nul?
En sachant ce que je sais aujourd'hui? Tout, depuis mes douze ans environ. (C'est l'option "revivre pour faire mieux".) Sinon, la troisième, les années de lycée, l'hypokhâgne (option "revivre pour mieux profiter").
En réalité, c'est la question à laquelle je me réponds par: «et si tu faisais en sorte de tellement bien vivre du premier coup que tu n'aies pas besoin de souhaiter revivre?» (et donc j'arrête ce billet et je me mets à ma dissert (j'écris mardi 11 novembre 2014, pour mémoire).
5/ Oui. Pratiquement tout. La seule chose que je ne ferai pas aussi bien qu'eux (et plutôt très mal), c'est économiser. Et je m'en veux de savoir que j'hériterai d'eux plus que je ne lèguerai à mes enfants.
6/ Brouillée, non. Eloignée, oui.
7/ Tout le temps. J'estime ne pas avoir fait les mauvais choix une ou deux fois dans ma vie (cf. supra question 4)
8/ Droite, très droite (équitation plus aviron). Mais sans la rigidité d'une danseuse.
9/ Oui. J'ai encore rêvé de ma grand-mère cette nuit (morte en juillet 2001. Et ne parlons pas de Jacqueline (morte en novembre 2004) à laquelle je pense à chaque sortie d'aviron, au moins.) 10/ Oui, quand j'avais les cheveux très courts et que j'étais penchée en avant pour ramasser quelque chose dans une boulangerie. Sinon, impossible, j'ai beaucoup trop de formes.
1/ Pas vraiment, mais plus qu'avant (y'a du progrès).
2/ Plutôt oui.
3/ Il est prévisible que je sois imprévisible (donc prévisible? bref, je ne sais pas répondre à cette question.).
4/ Grande question. Pour revivre tellement c'était bien, ou pour tout changer tellement c'était nul?
En sachant ce que je sais aujourd'hui? Tout, depuis mes douze ans environ. (C'est l'option "revivre pour faire mieux".) Sinon, la troisième, les années de lycée, l'hypokhâgne (option "revivre pour mieux profiter").
En réalité, c'est la question à laquelle je me réponds par: «et si tu faisais en sorte de tellement bien vivre du premier coup que tu n'aies pas besoin de souhaiter revivre?» (et donc j'arrête ce billet et je me mets à ma dissert (j'écris mardi 11 novembre 2014, pour mémoire).
5/ Oui. Pratiquement tout. La seule chose que je ne ferai pas aussi bien qu'eux (et plutôt très mal), c'est économiser. Et je m'en veux de savoir que j'hériterai d'eux plus que je ne lèguerai à mes enfants.
6/ Brouillée, non. Eloignée, oui.
7/ Tout le temps. J'estime ne pas avoir fait les mauvais choix une ou deux fois dans ma vie (cf. supra question 4)
8/ Droite, très droite (équitation plus aviron). Mais sans la rigidité d'une danseuse.
9/ Oui. J'ai encore rêvé de ma grand-mère cette nuit (morte en juillet 2001. Et ne parlons pas de Jacqueline (morte en novembre 2004) à laquelle je pense à chaque sortie d'aviron, au moins.) 10/ Oui, quand j'avais les cheveux très courts et que j'étais penchée en avant pour ramasser quelque chose dans une boulangerie. Sinon, impossible, j'ai beaucoup trop de formes.