Incompréhension et amitié
Par Alice, mardi 31 janvier 2017 à 23:09 :: 2017
Une fois encore, pas de rapport entre les deux éléments du titre de ce billet : ce sont les deux teintes de la journée, tant la seule unité de nos journées n'est parfois que nous-mêmes.
H. m'appelle vers midi. Il est décomposé:
— B. ne veut pas signer les billets d'avion pour Nat. Il ne veut plus aller aux Etats-Unis.
— Mais il a bien signé pour la création de l'entreprise?
— Oui. Il est fou. C'est impossible de travailler avec lui. Je ne sais plus quoi faire.
Je donne quelques conseils, en particulier d'envoyer sans commentaire un résumé en français en quelques points ne dépassant pas la page A4 des documents envoyés en anglais, puisque B. ne veut pas avouer qu'il ne parle pas anglais.
Le voisin est d'un grand secours. H et lui ont organisé un concours pour savoir qui avait le patron le plus fou.
Le soir je vois Aline. Nous parlons chats, santé, voyages. Elle me raconte la grande époque des éditions J'ai lu, avant les années 90, le début de la financiarisation. Cela me paraît toujours mythique, j'ai commencé à travailler à ce moment-là .
Elle me parle d'un voyage des cruchons pour visiter les châteaux de la Loire. D'un côté je viendrai de les visiter une fois encore avec Nat, d'un autre côté il s'agit de la partie au-delà de Tours, que je ne connais pas. Et puis H. devrait être aux Etats-Unis, s'il est encore possible d'y croire. Je vais essayer d'y aller.
H. m'appelle vers midi. Il est décomposé:
— B. ne veut pas signer les billets d'avion pour Nat. Il ne veut plus aller aux Etats-Unis.
— Mais il a bien signé pour la création de l'entreprise?
— Oui. Il est fou. C'est impossible de travailler avec lui. Je ne sais plus quoi faire.
Je donne quelques conseils, en particulier d'envoyer sans commentaire un résumé en français en quelques points ne dépassant pas la page A4 des documents envoyés en anglais, puisque B. ne veut pas avouer qu'il ne parle pas anglais.
Le voisin est d'un grand secours. H et lui ont organisé un concours pour savoir qui avait le patron le plus fou.
Le soir je vois Aline. Nous parlons chats, santé, voyages. Elle me raconte la grande époque des éditions J'ai lu, avant les années 90, le début de la financiarisation. Cela me paraît toujours mythique, j'ai commencé à travailler à ce moment-là .
Elle me parle d'un voyage des cruchons pour visiter les châteaux de la Loire. D'un côté je viendrai de les visiter une fois encore avec Nat, d'un autre côté il s'agit de la partie au-delà de Tours, que je ne connais pas. Et puis H. devrait être aux Etats-Unis, s'il est encore possible d'y croire. Je vais essayer d'y aller.