Début de clôture
Par Alice, vendredi 3 février 2017 à 22:51 :: 2017
Sortie en huit (de couple) pour la première fois depuis juin 2015. Nous avons fait beaucoup de progrès depuis cette époque où j'avais cru un moment que nous n'arriverions jamais à tourner (et nous voilà partis jusqu'au Havre). L'équilibre était même meilleur que dans certains quatre.
Ce qui me fait plaisir, c'est que c'est Vincent qui nous l'a proposé et non nous qui avons quémandé: il nous considère enfin à niveau. Cela conforte mon idée de proposer aux filles de s'inscrire à la coupe des dames à Angers. (Si nous réussissons à trouver le nombre de rameuses nécessaires (l'expérience prouve qu'il faut être douze ou treize pour faire un huit, paraît-il), il faudra aussi trouver un conducteur pour la remorque. Enfin, nous n'en sommes pas encore là .)
J’ai écrit un mail pour lister les risques réels que court la mutuelle (la question d’un actuaire dans l’après-midi donne à penser que le dernier (des risques que j'ai listés) est peut-être en train de se réaliser, ou est en train de commence à se réaliser (cela prendra bien trois ou quatre ans).
J’ai lancé les premières opérations pour la clôture du bilan. Ce sont les travaux que je préfère, jusqu’à fin avril, le moment où tous les chiffres coïncident et les engrenages s’emboîtent parfaitement.
Front de B.: H. a eu l'expert-comptable au téléphone et a rétabli quelques vérités («B. ment comme un arracheur de dents, ce n'est pas nouveau»), il a rendez-vous lundi avec l'avocat et B. pour essayer de définir une ligne de conduite. «Au moins, dit-il, je vais avoir affaire à quelqu'un qui a toute sa tête.»
Hier H. m'avait proposé de passer le week-end à Caen, j'ai fait une contre-proposition ce matin: Nancy. Au moment de prendre les billets nous nous apercevons avec surprise que les billets de TGV sont en sur-réservation: une fois encore, nous avons négligé de prendre en compte les vacances scolaires qui désormais nous échappent. Nous pourrions prendre un train très tôt, nous choisissons paresseusement 12h20 gare de l'Est: je n'ai pas envie de me presser.
Ce qui me fait plaisir, c'est que c'est Vincent qui nous l'a proposé et non nous qui avons quémandé: il nous considère enfin à niveau. Cela conforte mon idée de proposer aux filles de s'inscrire à la coupe des dames à Angers. (Si nous réussissons à trouver le nombre de rameuses nécessaires (l'expérience prouve qu'il faut être douze ou treize pour faire un huit, paraît-il), il faudra aussi trouver un conducteur pour la remorque. Enfin, nous n'en sommes pas encore là .)
J’ai écrit un mail pour lister les risques réels que court la mutuelle (la question d’un actuaire dans l’après-midi donne à penser que le dernier (des risques que j'ai listés) est peut-être en train de se réaliser, ou est en train de commence à se réaliser (cela prendra bien trois ou quatre ans).
J’ai lancé les premières opérations pour la clôture du bilan. Ce sont les travaux que je préfère, jusqu’à fin avril, le moment où tous les chiffres coïncident et les engrenages s’emboîtent parfaitement.
Front de B.: H. a eu l'expert-comptable au téléphone et a rétabli quelques vérités («B. ment comme un arracheur de dents, ce n'est pas nouveau»), il a rendez-vous lundi avec l'avocat et B. pour essayer de définir une ligne de conduite. «Au moins, dit-il, je vais avoir affaire à quelqu'un qui a toute sa tête.»
Hier H. m'avait proposé de passer le week-end à Caen, j'ai fait une contre-proposition ce matin: Nancy. Au moment de prendre les billets nous nous apercevons avec surprise que les billets de TGV sont en sur-réservation: une fois encore, nous avons négligé de prendre en compte les vacances scolaires qui désormais nous échappent. Nous pourrions prendre un train très tôt, nous choisissons paresseusement 12h20 gare de l'Est: je n'ai pas envie de me presser.