Compétition
Par Alice, mardi 28 février 2017 à 23:30 :: 2017
Pas ramé hier (pluie verglacée), je ne ramerai pas jeudi et vendredi (conseil d'administration et réunion d'encadrement), il me reste aujourd'hui et demain.
Deux yolettes et un double. Vincent organise au débotté une course du ponton jusqu'au pont de Puteaux et retour.
Toute la difficulté est de négocier le virage autour de la pile du pont, passage obligé. Grâce à une manœuvre audacieuse qui nous permet de tourner au plus court (dépasser la pile perdenculairement au courant puis tourner d'un quart de tour sur place), nous gagnons trois longueurs sur l'autre yolette qui nous menait d'une demie. Nous pulvérisons d'une minute (en onze minute douze) le record de la course et Vincent relève soigneusement nos noms (Antoine barreur, Peter à la nage, Ben, François, moi).
Je passe à la barre pour le dernier aller-retour de récupération. Pluie froide, neige fondue. J'ai froid. Je ne me réchaufferai plus avant le soir.
Dans le même temps je reçois un sms de Gwenaële qui me propose de faire la quatrième dans leur équipage pour le biathlon de Lagny le 25 mars (elles ont dû avoir un désistement). J'accepte en me demandant quand nous allons nous entraîner: j'ai des contraintes chaque week-end, absente le prochain, caté ensuite, puis TG. Il va falloir se lever très tôt. Ramer deux fois le week-end plus une le mercredi? Je peux m'entraîner à l'ergo le midi, mais il faut que je trouve une solution pour ne plus m'arracher la peau au niveau du coccyx. Je vais essayer les pansements seconde peau destinés aux ampoules. Le but est d'éviter les frottements.
H. est parti à Tours. J'espère que ça ira. Il prend les choses avec tant de phlegme que je redoute le contrecoup.
Pas sûr que la prof de grec reprenne ses cours cette année. J'espère qu'elle n'est pas en pleine déprime (mais comment s'informer? Chère Madame, êtes-vous déprimée?)
Deux yolettes et un double. Vincent organise au débotté une course du ponton jusqu'au pont de Puteaux et retour.
Toute la difficulté est de négocier le virage autour de la pile du pont, passage obligé. Grâce à une manœuvre audacieuse qui nous permet de tourner au plus court (dépasser la pile perdenculairement au courant puis tourner d'un quart de tour sur place), nous gagnons trois longueurs sur l'autre yolette qui nous menait d'une demie. Nous pulvérisons d'une minute (en onze minute douze) le record de la course et Vincent relève soigneusement nos noms (Antoine barreur, Peter à la nage, Ben, François, moi).
Je passe à la barre pour le dernier aller-retour de récupération. Pluie froide, neige fondue. J'ai froid. Je ne me réchaufferai plus avant le soir.
Dans le même temps je reçois un sms de Gwenaële qui me propose de faire la quatrième dans leur équipage pour le biathlon de Lagny le 25 mars (elles ont dû avoir un désistement). J'accepte en me demandant quand nous allons nous entraîner: j'ai des contraintes chaque week-end, absente le prochain, caté ensuite, puis TG. Il va falloir se lever très tôt. Ramer deux fois le week-end plus une le mercredi? Je peux m'entraîner à l'ergo le midi, mais il faut que je trouve une solution pour ne plus m'arracher la peau au niveau du coccyx. Je vais essayer les pansements seconde peau destinés aux ampoules. Le but est d'éviter les frottements.
H. est parti à Tours. J'espère que ça ira. Il prend les choses avec tant de phlegme que je redoute le contrecoup.
Pas sûr que la prof de grec reprenne ses cours cette année. J'espère qu'elle n'est pas en pleine déprime (mais comment s'informer? Chère Madame, êtes-vous déprimée?)