Le premier obstacle est passé
Par Alice, lundi 25 avril 2022 à 06:14 :: Politique
Restent les législatives.
Mélenchon est à fond, décidé à devenir premier ministre. Pourquoi pas? Deux ans pour couler la France, ensuite dissolution et nouvelles élections.
Il faut bien reconnaître que quoi qu'il arrive, ce n'est pas moi qui en souffrirai le plus.
Assesseur suppléante de onze heure à trois heures et demie. Ce n'est pas désagréable, juste agaçant d'avoir des idées pour améliorer le fonctionnement global (ne pas choisir un sourd pour entendre le numéro du votant: il vaut mieux que ce soit lui qui parle; signaler à tous les bureaux que la liste des procurations est trompeuse et comporte les procurations du premier tour, fournir une liste électorale au secrétaire qui vérifie les identités de façon à ce qu'il puisse corriger le numéro de votant sur les vieilles cartes) et ne rien pouvoir dire car les titulaires prennent cela comme des critiques et refusent toute suggestion.
Je ne sais pas comment m'occuper ensuite, thé et café à la maison avec Jérôme et Jean. Un mail à Ruth qui m'a écrit en février et s'inquiète de mon silence. J'ai de nouveau mal au ventre. Sieste. Hervé me réveille en hurlant «Hourra».
Nous devons aller fêter cela à Fontainebleau dans la voiture de Jérôme puisque nous sommes trois. Celui-ci est bloqué dans son bureau, le comptage a pris trois quart d'heure de retard car les feuilles de décomptes n'étaient pas les bonnes (scrutin de liste, pas les bons motifs de nuls… Je n'ai pas vraiment compris et je n'ai pas cherché puisque pas concernée). Décidément la mairie n'est pas douée.
Petits fours au théâtre de Fontainebleau (beaucoup de monde que je ne connais pas) puis bière au Grand Café entre militants circos 2 et 3 (c'est amusant de désormais visualiser le territoire en circonscriptions. C'est à cela que je sais que j'ai franchi une étape). On bitche, je découvre des anecdotes insoupçonnées sous des messages étranges apparus dans des boucles Telegram. Deux fois, je recrache ma bière de rire (proprement, dans mon verre).
Jérôme nous ramène à Moret, puis je raccompagne Isis dans son village au sud de Nemours. Je me couche à deux heures, la journée va être longue.
Mélenchon est à fond, décidé à devenir premier ministre. Pourquoi pas? Deux ans pour couler la France, ensuite dissolution et nouvelles élections.
Il faut bien reconnaître que quoi qu'il arrive, ce n'est pas moi qui en souffrirai le plus.
Assesseur suppléante de onze heure à trois heures et demie. Ce n'est pas désagréable, juste agaçant d'avoir des idées pour améliorer le fonctionnement global (ne pas choisir un sourd pour entendre le numéro du votant: il vaut mieux que ce soit lui qui parle; signaler à tous les bureaux que la liste des procurations est trompeuse et comporte les procurations du premier tour, fournir une liste électorale au secrétaire qui vérifie les identités de façon à ce qu'il puisse corriger le numéro de votant sur les vieilles cartes) et ne rien pouvoir dire car les titulaires prennent cela comme des critiques et refusent toute suggestion.
Je ne sais pas comment m'occuper ensuite, thé et café à la maison avec Jérôme et Jean. Un mail à Ruth qui m'a écrit en février et s'inquiète de mon silence. J'ai de nouveau mal au ventre. Sieste. Hervé me réveille en hurlant «Hourra».
Nous devons aller fêter cela à Fontainebleau dans la voiture de Jérôme puisque nous sommes trois. Celui-ci est bloqué dans son bureau, le comptage a pris trois quart d'heure de retard car les feuilles de décomptes n'étaient pas les bonnes (scrutin de liste, pas les bons motifs de nuls… Je n'ai pas vraiment compris et je n'ai pas cherché puisque pas concernée). Décidément la mairie n'est pas douée.
Petits fours au théâtre de Fontainebleau (beaucoup de monde que je ne connais pas) puis bière au Grand Café entre militants circos 2 et 3 (c'est amusant de désormais visualiser le territoire en circonscriptions. C'est à cela que je sais que j'ai franchi une étape). On bitche, je découvre des anecdotes insoupçonnées sous des messages étranges apparus dans des boucles Telegram. Deux fois, je recrache ma bière de rire (proprement, dans mon verre).
Jérôme nous ramène à Moret, puis je raccompagne Isis dans son village au sud de Nemours. Je me couche à deux heures, la journée va être longue.