The Boys
Par Alice, lundi 25 juillet 2022 à 23:05 :: 2022
Il ne s'est pas passé grand chose aujourd'hui. Donc une photo de la Seine au dessus du pont SNCF de Melun à 6h57, vers l'amont, vers l'est.
L'été passe, il fait déjà moins jour, et j'en ai la nostalgie.
Entraînement d'ergo. Toujours pas au niveau d'avant le covid (niveau pas bien haut certes, mais justement, j'aimerais retrouver au moins ça).
Journée tranquille, à l'adhérent de 88 ans près qui me dit: «on m'a tué ma femme». Maladie nosocomiale après une opération banale d'un hallux valgus. Que répondre à ça? Et de chagrin (de fatigue) il est tombé. Deux mois d'hôpital avant «qu'on me mette dehors le premier juillet».
Il n'y a rien à dire, alors j'écoute.
J'entame la troisième saison des Boys. C'est vraiment très étonnant. C'est si violent que c'en est gore façon Walking Dead. Au début j'ai pensé que c'était une critique sardonique du capitalisme américain, de son cynisme et de son goût de l'image. Mais c'est aussi une illustration de la règle «Chacun a ses raisons». Les gentils sont méchants et les méchants sont malheureux.
C'est également un curieux mélange des années 60 (le méchant par excellence est nazi) et des années 2010 (réseaux sociaux et terrorisme islamique).
L'été passe, il fait déjà moins jour, et j'en ai la nostalgie.
Entraînement d'ergo. Toujours pas au niveau d'avant le covid (niveau pas bien haut certes, mais justement, j'aimerais retrouver au moins ça).
Journée tranquille, à l'adhérent de 88 ans près qui me dit: «on m'a tué ma femme». Maladie nosocomiale après une opération banale d'un hallux valgus. Que répondre à ça? Et de chagrin (de fatigue) il est tombé. Deux mois d'hôpital avant «qu'on me mette dehors le premier juillet».
Il n'y a rien à dire, alors j'écoute.
J'entame la troisième saison des Boys. C'est vraiment très étonnant. C'est si violent que c'en est gore façon Walking Dead. Au début j'ai pensé que c'était une critique sardonique du capitalisme américain, de son cynisme et de son goût de l'image. Mais c'est aussi une illustration de la règle «Chacun a ses raisons». Les gentils sont méchants et les méchants sont malheureux.
C'est également un curieux mélange des années 60 (le méchant par excellence est nazi) et des années 2010 (réseaux sociaux et terrorisme islamique).