Seine
Par Alice, dimanche 17 janvier 2016 à 23:15 :: 2016
Par Alice, dimanche 17 janvier 2016 à 23:15 :: 2016
Par Alice, dimanche 6 décembre 2015 à 23:08 :: 2015
Par Alice, dimanche 29 novembre 2015 à 20:29 :: 2015
Par Alice, dimanche 22 novembre 2015 à 22:36 :: 2015
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Par Alice, vendredi 18 septembre 2015 à 22:03 :: 2015
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Par Alice, mercredi 29 avril 2015 à 23:17 :: 2015
Par Alice, dimanche 19 avril 2015 à 20:40 :: 2015
Par Alice, dimanche 5 avril 2015 à 22:02 :: 2015
Par Alice, mercredi 1 avril 2015 à 22:01 :: 2015
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Par Alice, dimanche 22 février 2015 à 23:45 :: 2015
Par Alice, dimanche 15 février 2015 à 19:07 :: 2015
Par Alice, dimanche 1 février 2015 à 20:32 :: 2015
Par Alice, dimanche 25 janvier 2015 à 21:49 :: 2015
Par Alice, dimanche 21 décembre 2014 à 21:30 :: 2014
«Il existe en effet deux instances par la primatie desquelles le monde est régi: l'autorité sacrée des pontifes et le pouvoir royal. En cela, la charge des évêques est d'autant plus importante qu'ils auront à répondre, au tribunal de Dieu, pour les rois eux-mêmes» «Duo quippe sunt, imperator auguste, quibus principaliter mundus hic regitur: auctoritas sacra pontificum et regalis potestas. In quibus tanto gravius est pondus sacerdotum, quanto etiam pro ipsis regibus hominum (domino?) in divino reddituri sunt examine rationem.»Au VIIIe et IXe siècles, cette citation est reprise dans un autre contexte:
Yves Congar, L'Eglise, p.32-33 (Cerf, 1970)
Le Christ est à la fois prêtre et roi, selon le type biblique de Melchisédech. […] C'est pourquoi les deux pouvoirs, que le Christ réunit, se trouvent, mais séparés, dans son corps fait des fidèles. […] Et l'on cite le texte de Gélase, «Duae sunt» (supra, p.52)
Mais ce texte a subi ainsi un changement profond de sens. Pour Gélase, c'était le monde, mundus hic, qui était régi, comme par deux principes, par les évêques et par les rois. Pour l'épiscopat carolingien, c'est l'ecclesia-corpus Christi, l'Eglise-Corps du Christ. C'est au point que, si le texte de Gélase est souvent cité avec les mots originaux «mundus hic», «ce monde», bien que dans un contexte d'application à l'ecclesia, il arrive que les mots «mundus hic» soient remplacés, dans la citation même, par ecclesia ou, en tout cas, que le gouvernement de l'ecclesia soit attribué aux pontifes et aux rois. […] Ainsi ecclesia désigne, non plus (seulement) ce que nous appelons l'Eglise, mais le peuple des baptisés ou des fidèles, la société des chrétiens.
Ibid., p.52-53
Par Alice, dimanche 14 décembre 2014 à 22:42 :: 2014
… C'est cette recherche qu'exalte Hilaire, dans son livre sur la Trinité: «Dans ta foi, entreprends, progresse, acharne-toi. Tu n'arriveras pas au terme, je le sais, mais le moindre progrès est déjà plein de grâce. Qui poursuit l'infini avec ferveur progresse, même s'il n'arrive pas à ses fins. Mais pour cela, garde-toi de prétendre percer le mystère, par cette immersion dans la vérité sans rivage; la première condition est de comprendre qu'elle passe toute compréhension.»
Somme contre les Gentils, Livre Ier, chap. 5 et 8.
Comm. sur le traité de la Trinité de Boèce, quest. 2, art. 3, rép. 5.
Marie-Dominique Chenu, St Thomas d'Aquin et la théologie, p.46
Par Alice, mercredi 22 octobre 2014 à 22:52 :: 2014
Par Alice, mardi 4 juin 2013 à 21:49 :: 2013
Par Alice, mercredi 21 avril 2010 à 21:54 :: 2010