Enquête
Par Alice, samedi 30 novembre 2013 à 12:00 :: Une enquête sentimentale
Les questions sont ici.
Réponses apportées le 1er mars 2015.
1. Oui. Plus exactement j'y suis attachée, ils font partie de cette catégorie dont il ne faut pas se demander si on aime ou pas, il faut y aller, parce que cela nous dépasse. Aller aux mariages, aux enterrements. Si possible aller aux remises de diplômes, aux célébrations. Tout ce qui est rite est important, la perte du sens du rite (fondre sa personne, sa personnalité, dans quelque chose qui tient à la communauté, à l'assemblée) me paraît grave; je crois que les rites manquent aux gens, que les gens manquent de rites, qu'ils en sont inconscients. Bien pire, ils sont persuadés d'être "au dessus ça". Peut-être qu'il faudrait leur dire que c'est les rites qui ont besoin d'eux.
2. Oui, quand il y en a. Leur disparition est un grand regret, leur existence un grand réconfort. (Je pesne à elles, je visualise les images d'Hubble un peu n'importe où, n'importe quand.)
3. Non. Je chante très peu.
4. Très tard, vers quinze ou seize ans, en allant dormir chez une amie dont les parents étaient pharmaciens: mes parents étaient profs et n'avaient que des amis profs (l'horreur).
5. Non. Ou à deux heures près! (Enfin, ça dépend des moments).
6. Je ne suis pas habile, je suis pas patiente. Je prends le temps qu'il faut. Mais je ne le prends pas souvent! (Tricot, travaux d'aiguille).
7. Les deux. Recevoir, peut-être, par paresse: c'est compliqué, d'offrir!
8. Oui. Mais là tout de suite, aucun nom ne me vient. Mais définitivement oui. Je suis très sensible à la voix.
9. Spontanément je dirais oui, mais en fait ce n'est pas si vrai. J'aime être couchée, mais je n'aime pas y aller.
10. Lors du dernier Conseil d'Administration, un administrateur syndicaliste m'a dit que le procès-verbal du CA précédent était très bien. Cela m'a fait très plaisir et surprise car les rapports étaient tendus. Mais je crois que ma chute a changé quelque chose dans leur façon de me considérer (à quoi tiennent les choses!)
Réponses apportées le 1er mars 2015.
1. Oui. Plus exactement j'y suis attachée, ils font partie de cette catégorie dont il ne faut pas se demander si on aime ou pas, il faut y aller, parce que cela nous dépasse. Aller aux mariages, aux enterrements. Si possible aller aux remises de diplômes, aux célébrations. Tout ce qui est rite est important, la perte du sens du rite (fondre sa personne, sa personnalité, dans quelque chose qui tient à la communauté, à l'assemblée) me paraît grave; je crois que les rites manquent aux gens, que les gens manquent de rites, qu'ils en sont inconscients. Bien pire, ils sont persuadés d'être "au dessus ça". Peut-être qu'il faudrait leur dire que c'est les rites qui ont besoin d'eux.
2. Oui, quand il y en a. Leur disparition est un grand regret, leur existence un grand réconfort. (Je pesne à elles, je visualise les images d'Hubble un peu n'importe où, n'importe quand.)
3. Non. Je chante très peu.
4. Très tard, vers quinze ou seize ans, en allant dormir chez une amie dont les parents étaient pharmaciens: mes parents étaient profs et n'avaient que des amis profs (l'horreur).
5. Non. Ou à deux heures près! (Enfin, ça dépend des moments).
6. Je ne suis pas habile, je suis pas patiente. Je prends le temps qu'il faut. Mais je ne le prends pas souvent! (Tricot, travaux d'aiguille).
7. Les deux. Recevoir, peut-être, par paresse: c'est compliqué, d'offrir!
8. Oui. Mais là tout de suite, aucun nom ne me vient. Mais définitivement oui. Je suis très sensible à la voix.
9. Spontanément je dirais oui, mais en fait ce n'est pas si vrai. J'aime être couchée, mais je n'aime pas y aller.
10. Lors du dernier Conseil d'Administration, un administrateur syndicaliste m'a dit que le procès-verbal du CA précédent était très bien. Cela m'a fait très plaisir et surprise car les rapports étaient tendus. Mais je crois que ma chute a changé quelque chose dans leur façon de me considérer (à quoi tiennent les choses!)