Assommée
Par Alice, lundi 3 septembre 2018 à 23:46 :: 2018
Premier "atelier" ce soir. Cette année il s'agit d'atelier destiné à nous soutenir dans notre rédaction de mémoire de "baccalauréat canonique" (BC) qui est l'autre nom de la licence théologique (il me semble).
Il fallait venir avec son sujet, ses lectures de l'été, avoir plus ou moins articulé sa problématique. Je m'en suis rendu compte vendredi soir en mettant à jour Google agenda.
Catastrophe, je n'ai rien fichu cet été et certainement pas fait des "lectures d'été" puisque je ne savais pas qu'il fallait en faire (à vrai dire, l'aurais-je que cela n'aurait sans doute pas changé grand chose: je n'ai pas passé mon week-end à lire les Confessions comme j'aurais pu le faire.)
Je n'ai pas franchement d'idée de sujet. En juin j'avais évoqué le repos, mais je me rends compte que je ne pourrai jamais problématiser un tel sujet, il me faudrait prendre à bras-le-corps trop d'apories, faire face à trop de colères (prendre à mon compte, exposer, la colère de H., par exemple, qui cite souvent Pennac: «si Dieu existe, j'espère qu'Il a une excuse». Est-ce que cela a un sens de vouloir se faire la voix de ceux qui ne croient pas, ou plutôt, qui sont en colère?)
Bref, un travail bien trop important pour mon courage, dans les deux sens de courage; courage face au travail (courage contraire de paresse) et courage face aux questions et aux réponses (courage contraire de lâcheté). Je n'ai pas ces courages.
Qu'est-ce que je vais faire? Dans le groupe, deux veulent étudier Laudato Si (l'un dans sa réception à Madagascar, l'autre dans ses conséquences pratiques dans une paroisse française), un les procédures de canonisation (y a-t-il trop de saints, des saints trop locaux? (il paraît répondre oui)), une étudiante se propose de traduire des inédits de Basile ou Grégoire (je ne sais plus) pour réfléchir à ce qu'il effectue quand il nomme Dieu (!!? Mazette!).
Nous nous rencontrerons tous les quinze jours et sommes censés le jeudi précédent mettre en ligne un résumé de nos avancées en problématique et lecture et bibliographie.
Que vais-je faire, comment vais-je m'en sortir?
Il fallait venir avec son sujet, ses lectures de l'été, avoir plus ou moins articulé sa problématique. Je m'en suis rendu compte vendredi soir en mettant à jour Google agenda.
Catastrophe, je n'ai rien fichu cet été et certainement pas fait des "lectures d'été" puisque je ne savais pas qu'il fallait en faire (à vrai dire, l'aurais-je que cela n'aurait sans doute pas changé grand chose: je n'ai pas passé mon week-end à lire les Confessions comme j'aurais pu le faire.)
Je n'ai pas franchement d'idée de sujet. En juin j'avais évoqué le repos, mais je me rends compte que je ne pourrai jamais problématiser un tel sujet, il me faudrait prendre à bras-le-corps trop d'apories, faire face à trop de colères (prendre à mon compte, exposer, la colère de H., par exemple, qui cite souvent Pennac: «si Dieu existe, j'espère qu'Il a une excuse». Est-ce que cela a un sens de vouloir se faire la voix de ceux qui ne croient pas, ou plutôt, qui sont en colère?)
Bref, un travail bien trop important pour mon courage, dans les deux sens de courage; courage face au travail (courage contraire de paresse) et courage face aux questions et aux réponses (courage contraire de lâcheté). Je n'ai pas ces courages.
Qu'est-ce que je vais faire? Dans le groupe, deux veulent étudier Laudato Si (l'un dans sa réception à Madagascar, l'autre dans ses conséquences pratiques dans une paroisse française), un les procédures de canonisation (y a-t-il trop de saints, des saints trop locaux? (il paraît répondre oui)), une étudiante se propose de traduire des inédits de Basile ou Grégoire (je ne sais plus) pour réfléchir à ce qu'il effectue quand il nomme Dieu (!!? Mazette!).
Nous nous rencontrerons tous les quinze jours et sommes censés le jeudi précédent mettre en ligne un résumé de nos avancées en problématique et lecture et bibliographie.
Que vais-je faire, comment vais-je m'en sortir?