Libérées délivrées
Par Alice, mardi 13 août 2019 à 20:38 :: 2019
C'est la semaine (notez le progrès par rapport aux trois années précédentes où c'était un mois entier) où le RER A est fermé. Cette année, c'est entre Vincennes et Auber.
Je travaille chez moi, je ne vais que rarement au bureau, une à deux fois par semaine. Chemin classique hier, ligne 1 gare de Lyon puis RER A à la Défense; aujourd'hui départ d'Olympiade (après décapotable et croissant paresseux au café), sortie à Madeleine et marche jusqu'à Auber (ce qui m'a permis de découvrir une boutique Ekyog, la marque qui avait fermé sous notre nez à St Brieuc et que nous pensions cantonnée à la Bretagne).
Si aujourd'hui j'y vais, c'est que doit avoir lieu la bascule de la compta hébergée sur nos postes à une compta totalement déportée, hébergée chez le fournisseur du logiciel: je ne dépendrai plus des techniciens informatiques indifférents à la mutuelle, refusant de consacrer les deux heures annuelles nécessaires à la mise à jour des versions du logiciel.
J'étais inquiète le matin, craignant un os du type "il nous faut absolument un mot de passe administrateur", mais tout c'est bien passé: hourra, nous sommes libres et indépendantes, nous ne dépendons plus de ce bunch of dummies!!
(Maintenant il me reste à payer la facture 2018 de refacturation interne en en déduisant le coût des informaticiens qui n'ont jamais fait leur travail. Incroyable que nous n'ayons jamais été relancées pour cette facture qui dépasse les deux cent mille euros (elle porte sur bien d'autres choses que les deux heures d'intervention informatique: je veux juste ne pas payer le montant exact afin de gêner le lettrage automatique et gripper le système).
Sur Arte, La Fiancée du pirate puis le début de Rubber (mais qui m'en avait parlé?)
Dîner chez Roberta. Pizza aux truffes. Il fait frais.
Je travaille chez moi, je ne vais que rarement au bureau, une à deux fois par semaine. Chemin classique hier, ligne 1 gare de Lyon puis RER A à la Défense; aujourd'hui départ d'Olympiade (après décapotable et croissant paresseux au café), sortie à Madeleine et marche jusqu'à Auber (ce qui m'a permis de découvrir une boutique Ekyog, la marque qui avait fermé sous notre nez à St Brieuc et que nous pensions cantonnée à la Bretagne).
Si aujourd'hui j'y vais, c'est que doit avoir lieu la bascule de la compta hébergée sur nos postes à une compta totalement déportée, hébergée chez le fournisseur du logiciel: je ne dépendrai plus des techniciens informatiques indifférents à la mutuelle, refusant de consacrer les deux heures annuelles nécessaires à la mise à jour des versions du logiciel.
J'étais inquiète le matin, craignant un os du type "il nous faut absolument un mot de passe administrateur", mais tout c'est bien passé: hourra, nous sommes libres et indépendantes, nous ne dépendons plus de ce bunch of dummies!!
(Maintenant il me reste à payer la facture 2018 de refacturation interne en en déduisant le coût des informaticiens qui n'ont jamais fait leur travail. Incroyable que nous n'ayons jamais été relancées pour cette facture qui dépasse les deux cent mille euros (elle porte sur bien d'autres choses que les deux heures d'intervention informatique: je veux juste ne pas payer le montant exact afin de gêner le lettrage automatique et gripper le système).
Sur Arte, La Fiancée du pirate puis le début de Rubber (mais qui m'en avait parlé?)
Dîner chez Roberta. Pizza aux truffes. Il fait frais.