Planification des vacances
Par Alice, dimanche 31 juillet 2022 à 22:20 :: 2022
Dormi au dernier étage jusqu'à 9h23 (c'est précis).
Depuis que j'ai mentalement accepté le fait que je ne ferai pas partie d'un équipage stable dans un bateau fixe (parce que ce club ne fonctionne pas comme ça), j'ai ralenti les entraînements sur l'eau (à quoi bon?): une seule sortie par week-end, c'est pouvoir dormir sans contrainte un jour dans la semaine, le luxe.
Cela nous a permis de bruncher chez les filles pour la première fois. Pancake sucré-salé, intéressant.
J'ai décrété que je ne m'occupais plus des vacances (ça fait partie de ma lutte contre la charge mentale. J'avais, rassurez-vous, une idée assez précise des conséquences). H. voulait aller en Grèce. Je ne sais pas à quel moment il s'est préoccupé de transformer le désir en réalité, mais il n'y avait plus de places dans les avions.
En conséquence, je vais faire du planeur. («Si nous restons à Moret, j'irai faire du planeur.» (Nous devrions aussi faire du canoë, ensemble. Je suis curieuse de voir ce que ça va donner.)) Je suis allée m'inscrire cet après-midi. Stage de six jours qu'il est possible de prendre de façon discontinue. Pas de certificat médical nécessaire tant qu'on ne passe pas son brevet de pilotage. On s'inscrit sur un intranet, en fonction des places encore disponibles. C'est prenant: arrivée à dix heures (on ne vole pas le matin, l'air est trop froid, pas de courant ascendant), pique-nique le midi, pilotage l'après-midi (et beaucoup de manipulations, j'ai l'impression), départ à sept heures. Oups, cela veut dire que je laisse H. toute la journée pendant ses vacances. A une époque cela n'avait pas d'importance, il passait ses journées à programmer.
Maintenant je ne sais plus. On verra bien. Je pourrai toujours terminer les six jours au-delà du mois d'août. Je dois avouer que si cela me plaît et qu'on ne monte pas un bateau pour la coupe des dames, je songe à remplacer l'aviron par le planeur, au moins un an, pour faire un break.
Les longues remorques sur la photo sont destinées à contenir un planeur.
Lorsque je rentre, H. a acheté un tableau qu'il lorgnait depuis longtemps. L'intensité de son désir est prouvé par l'empressement qu'il met à le pendre au mur. (Trouver l'endroit, planter le clou).
Messe de 18h30 à St Mammès. J'y vais à vélo et repère le bar des capitaines en bord de Seine. Une solution de secours pour les dimanches soir où c'est la dèche (soit deux sur trois, trois sur quatre...)?
Depuis que j'ai mentalement accepté le fait que je ne ferai pas partie d'un équipage stable dans un bateau fixe (parce que ce club ne fonctionne pas comme ça), j'ai ralenti les entraînements sur l'eau (à quoi bon?): une seule sortie par week-end, c'est pouvoir dormir sans contrainte un jour dans la semaine, le luxe.
Cela nous a permis de bruncher chez les filles pour la première fois. Pancake sucré-salé, intéressant.
J'ai décrété que je ne m'occupais plus des vacances (ça fait partie de ma lutte contre la charge mentale. J'avais, rassurez-vous, une idée assez précise des conséquences). H. voulait aller en Grèce. Je ne sais pas à quel moment il s'est préoccupé de transformer le désir en réalité, mais il n'y avait plus de places dans les avions.
En conséquence, je vais faire du planeur. («Si nous restons à Moret, j'irai faire du planeur.» (Nous devrions aussi faire du canoë, ensemble. Je suis curieuse de voir ce que ça va donner.)) Je suis allée m'inscrire cet après-midi. Stage de six jours qu'il est possible de prendre de façon discontinue. Pas de certificat médical nécessaire tant qu'on ne passe pas son brevet de pilotage. On s'inscrit sur un intranet, en fonction des places encore disponibles. C'est prenant: arrivée à dix heures (on ne vole pas le matin, l'air est trop froid, pas de courant ascendant), pique-nique le midi, pilotage l'après-midi (et beaucoup de manipulations, j'ai l'impression), départ à sept heures. Oups, cela veut dire que je laisse H. toute la journée pendant ses vacances. A une époque cela n'avait pas d'importance, il passait ses journées à programmer.
Maintenant je ne sais plus. On verra bien. Je pourrai toujours terminer les six jours au-delà du mois d'août. Je dois avouer que si cela me plaît et qu'on ne monte pas un bateau pour la coupe des dames, je songe à remplacer l'aviron par le planeur, au moins un an, pour faire un break.
Les longues remorques sur la photo sont destinées à contenir un planeur.
Lorsque je rentre, H. a acheté un tableau qu'il lorgnait depuis longtemps. L'intensité de son désir est prouvé par l'empressement qu'il met à le pendre au mur. (Trouver l'endroit, planter le clou).
Messe de 18h30 à St Mammès. J'y vais à vélo et repère le bar des capitaines en bord de Seine. Une solution de secours pour les dimanches soir où c'est la dèche (soit deux sur trois, trois sur quatre...)?